Avec le confinement, l’envie d’habiter un logement près de la nature avec un espace extérieur est de plus en plus importante. Parmi les villes scrutées par les acquéreurs, Saint-Cloud figure en bonne position.

Saint-Cloud, un écrin de verdure dans les Hauts-de-Seine

Se mettre au vert sans pour autant renoncer la capitale de sa vie, semble être la préoccupation de bon nombre de Parisiens depuis le mois de mai 2020 à en croire les agents immobiliers et les promoteurs. Parmi les villes limitrophes de Paris tirant leur épingle du jeu, on retrouve celle de Saint-Cloud. Les prix, moins élevés que ceux de villes comme Boulogne-Billancourt ou encore Neuilly-sur-Seine, incitent davantage les acquéreurs à prendre en considération la commune. D’autant plus qu’elle profite d’un avantage de taille : les 450 hectares du Parc National de Saint-Cloud. Cet écrin de verdure fait désormais rêver les acheteurs. 

Des logements neufs dans une résidence à taille humaine

Si le parc ancien est populaire, le logement neuf n’est pas en reste avec ses prestations. C’est le cas par exemple du programme Onyx, du promoteur Pitch Immo, livré en 2023. Situé à 3 minutes à pied du parc et 18 minutes de la gare SNCF, l’opération se décompose en 5 immeubles de 3 étages chacun. Les appartements sont tous dotés de balcons, loggias, terrasses ou de jardins privatifs. Des éléments devenus incontournables pour les acquéreurs, qui plébiscitent les espaces extérieurs dans les programmes immobiliers. Les studios sont proposés à la vente pour 275 000 euros en TVA à 20%. Tous les logements comprennent des parkings en sous sol et des caves, ces dernières étant devenues des denrées rares et prisées ces dernières années

Saint-Cloud, une ville en pleine mutation

En plus de son visage de « ville verte », Saint-Cloud est également une commune en mouvement permanent. Le réaménagement de la caserne Sully est un bon exemple. D’une superficie de 1,8 hectare, ce terrain composé de bâtiments édifiés sous Charles X, va être transformé en un musée pour accueillir la collection de Pierre Rosenberg, l'ancien président directeur du musée du Louvre. Ce dernier a fait don au département des Hauts-de-Seine de 650 tableaux du XVIIe siècle, mais aussi des XVIIIe, XIXe et XXe siècles et 3 500 feuilles de dessin, dont certaines de la main de Nicolas Poussin, et des verreries de Murano.

Dans le domaine médical, on peut citer l’agrandissement de l’institut Curie. Un lourd travail de rénovation de près de 2 ans qui permettra d’accueillir des laboratoires et quelques 200 chercheurs, spécialisés dans les traitements contre le cancer. Autant de nouveaux équipements qui contribueront dans les années à venir à attirer encore de nouveaux acquéreurs dans la ville des Hauts-de-Seine.